Définition
Le torticolis est le spasme du muscle sterno-cléido-occipito-mastoïdien (SCOM) associé à une raideur de la nuque. Il va provoquer une inclinaison avec rotation opposée de la tête caractéristique. Chez le nouveau-né, il en existe deux types :
• torticolis musculaire congénital (TMC)
• torticolis congénital
Le premier est la forme la plus répandue. Il se développe dans les tous premiers jours ou semaines de vie du bébé. Il est parfois peu visible avec une différence d’amplitude de rotation seulement dans les derniers degrés. Dans ce cas, vous entendrez parfois parler de « rotation préférentielle » de la tête.
Le torticolis congénital quant à lui, est plus rare. Il est également associé à certaines malformations de naissance comme :
• une absence du muscle SCOM d’un côté
• une fusion de vertèbres cervicales
• une subluxation congénitale cervicale
• une anomalie du système nerveux
Il est a noté qu’un torticolis apparu spontanément chez un nourrisson ou un enfant en bas âge et accompagné de fièvre dois absolument vous faire consulter un médecin. De même pour un torticolis apparu longtemps après la naissance ou après un traumatisme. Dans la plus grande majorité des cas cependant l’origine du torticolis reste heureusement bénigne.
Origines
Il est causé principalement par la contraction du SCOM. On peut d’ailleurs souvent ressentir une petite masse fibreuse au toucher sur le muscle en tension.
De nombreuses théories ont été élaborées pour expliquer les causes du torticolis du nouveau-né mais l’origine profonde de celui-ci est aujourd’hui encore mal connue. Le positionnement du fœtus in-utéro mais aussi l’accouchement sont probablement en cause dans sa mise en place.
En effet, un positionnement anormal du bébé dans l’utérus de la mère, peut occasionner des tensions sur les cervicales et la tête du bébé pendant la grossesse. Sans traitement à la naissance, ces tensions resteront présentes sous la forme de torticolis. On associe effectivement plus souvent la position en siège du bébé par exemple à l’existence d’un torticolis à la naissance. Une autre cause fréquente elle aussi est en lien avec les manipulations au niveau du cou faites sur le bébé lors de l’expulsion par le corps médical. L’aide instrumentale à l’accouchement également (forceps, ventouses, etc.) peut aussi être mise en cause.
Conséquences
S’il n’est pas traité, le torticolis peut être, à terme, à l’origine de certains troubles comme :
• une asymétrie du visage : En effet, le corps cherchant absolument à avoir l’horizontalité du regard, une déformation faciale se met en place fréquemment.
• une asymétrie de la tête à type de plagiocéphalie, le nouveau-né restant systématiquement tourné du même côté.
• un trouble fonctionnel oculaire
• une déformation vertébrale à type de scoliose notamment au niveau cervico-thoracique.
Lorsque le corps du nourrisson est soumis à des tensions cervicales, crâniennes et aux épaules, le bassin à tendance à vouloir se rapprocher du côté où la tête est inclinée pour limiter la tension musculaire du cou. Le nourrisson se positionnant donc régulièrement en « arc de cercle » que les parents remarquent parfois. Ce mécanisme d’adaptation s’explique par les liens biomécaniques qui existent entre les divers éléments musculaires, ligamentaires et membraneux (dure-mère et fascias).
Dimanche dernier vous étiez tous rivés sur vos écrans à regarder le superbowl pour le spectacle sportif et pour certains c’était le spectacle de la mi-temps et les supers publicités! Mais le football, en tant qu’ostéopathe, c’est un sport d’impact ou le corps de l’athlète est poussé toujours à son maximum, pouvant causer plusieurs blessures physiques et mentales. En tant qu’amateur de sport, vous êtes vous déjà posez la question sur l’effet qu’à l’impact physique que ce sport ou tout autre sport de contact peuvent avoir comme conséquences chez un sportif ? Dans cet article je vais répondre à quelques questions sur les commotions, quels sont les symptômes, comment prendre en charge un patient, les traitements, le soutien de la famille et des coachs, si nous parlons d’un sportif.
Vrai ou faux? Est ce que les commotions sont causés seulement lors d’un coup direct à la tête?
Faux. On associe souvent les commotions aux traumas et coup direct sur la tête, comme vous pouvez voir au football. Ce qu’il est important de savoir c’est que peux importe ou se situe l’impact sur le corps, cela peut avoir des répercussions sur le cerveau. On l’appel souvent le contre coup ou l’effet rebond de l’Impact. Donc si vous chuter dans les escaliers, que vous avez eu un contact au hockey ou même que vous ayez eu un accident de voiture, le mouvement du cerveau dans la boîte crânienne fera le même mouvement que du jello dans un bol.
Voici un lien qui démontre le mouvement du cerveau lors d’un impact.
Comment déceler une commotion?
Les nausées et les vomissements sont les symptômes que nous connaissons tous, mais nous devons pousser le questionnement pour connaitre davantage sur la condition du patient et la gravité de la commotion. Voici une liste de symptômes qu’un commotionné peut ressentir. Les signes et symptômes vont varier selon la gravité de la commotion:
- Migraine
- Nausée/vomissement
- Problème d’équilibre, vertige
- Fatigue
- Difficulté à s’endormir, somnolence
- Difficulté à se concentrer ou à se souvenir
- Problème de vision
- Sensibilité à la lumière et au bruit
- Tristesse, nervosité
- Engourdissement
- Sensation de picotement
- Se sentir ralenti ou embrouiller, etc.
La liste peut être encore plus exhaustive,en générale, ce sont les symptômes les plus rencontrés.
Suite à une commotion, selon la gravité, vous pouvez aller consulter un médecin qui vous fera passer RX ou IRM afin de s »assurer de l’état des os du crâne et des tissus mous. Vous pouvez aussi consulter votre ostéopathe 5-7 jours post trauma, toujours selon la gravité. Ce dernier va vous expliquer la procédure du traitement et vous prendre en charge pour que vous puissiez reprendre le cours de votre vie le plus rapidement possible. La clientèle la plus fragile et à ne pas négliger lors d’une commotion sont, dans cet ordre: les bébés, les enfants, les femmes et les hommes. Les bébés ont beaucoup de souplesse au niveau de la boîte crânienne et prendra plus de temps à la récupération. La femme,également, à beaucoup plus de souplesse que l’homme au niveau de ses structures et donc moins de résistance et de protection.
Il y a plusieurs recommandation à suivre suite à la commotion cérébrale. Vous créer une routine de vie durant la convalescence est très importante. On évite ainsi de tomber dans le cycle interminable des mauvaises habitudes de vie qui pourrait prolonger la convalescence. Le REPOS est la chose la plus importante à faire lors de la commotion. Donc, faire des siestes à des heures fixes durant la journée peut vous aider à mieux récupérer. La nutrition est également une partie importante de la guérison. Manger des aliments sains et plusieurs petit repas par jour favorisera le retour de la condition. On me questionne souvent sur le fait de mettre de la chaleur ou de la glace lors d’une commotion. Nous voulons évitez de crisper la région cervicale, même s’il peut y avoir de l’inflammation, on suggère de mettre de la chaleur régulièrement afin d’assouplir les tissus, afin d’amener une augmentation en oxygène et en nutriments à la région. Il est très important de reprendre les activités et les sports progressivement. Un retour au jeu trop tôt n’aidera pas au retour rapide et peu retarder la guérison de la commotion. En cas d’incertitude, demandez à votre professionnel de la santé pour éviter les récidives hâtives.
Outre le IRM et le SCAN, il se peut que votre ostéopathe vous propose d’aller consulté un Ophtalmologiste pour faire un test de la vue. Certains commotionnés ont des troubles de vision suite au traumatisme et cela peut avoir un impact sur la posture du patient. Il y a également une mauvaise occlusion de la bouche (ouverture et fermeture de la bouche)qui peut modifier la posture . Donc une visite chez le dentiste peut évitez certains adaptations posturales suite à la commotion.
Le succès pour une commotion, c’est le travail d’équipe que formera les professionnels qui vous prendront en charge et le soutien de vos proches. Il faut une bonne communication et que tout le monde se dirige vers le même but pour une meilleure guérison.
Voilà! Ce n’est qu’un petit survole d’informations sur les commotions.Sachant que vous pouvez être pris en charge rapidement pour diminuer les symptômes et reprendre le cours de votre vie ou vos activités rapidement peut vous conscientiser à prendre en charge la commotion lorsqu’elle survient et éviter que le corps s’adapte à ce changement. Vous pouvez téléchargez le KIT sur les commotions cérébrales
Ce KIT est utile pour tous les entraîneurs, enseignants et parents ayant des enfants pratiquant des sports de contact. Il est important d’avoir les outils et les informations nécessaire sur place lorsqu’il subira une commotion , afin de bien agir.
Ariane Moreau D.O
Clinique Mille mains, Montréal
Clinique Ariane Moreau, Boisbriand
Source: formation des traitements des commotions HESTM 2017
On a souvent entendu nos parents ou nos grand-parents nous dire « Mieux vaut prévenir que guérir». Cet ancien proverbe prend tout son sens aujourd’hui dans la réadaptation, lorsque votre dos décide de barrer sans crier gare après avoir pelleter votre entrée de garage ou en éternuant et que cela vous déclenche un torticolis.
À chaque jour, notre corps est en constante adaptation par rapport à ce que nous faisons. Il va se modifier selon les sports que nous pratiquons, le travail que nous faisons, les mauvaises positions que nous prenons sur notre sofa en écoutant la télévision, et plus encore.
Saviez-vous que notre corps à une mémoire?
Il emmagasine tous les bobos, tous les petits accidents, les traumatismes reçus tout au long des journées qui passent. Lorsque vous appelez votre ostéopathe ou votre thérapeute en urgence, celui-ci vous demande de quelle façon la douleur est apparue. Souvent, vous n’en connaissez pas la cause principale et la douleur est même arrivé de facon ridicule, comme le simple fait d’éternuer. Votre corps vous envoie le message qu’il s’est modifié et que les adaptations ont également changées. C’est pour ces raisons qu’il est important de faire un petit « nettoyage » du corps occasionnellement pour le « remettre en place » et ainsi poursuivre notre quotidien sans douleurs imprévues.
Chez les sportifs, la prévention est encore plus importante, car ils sollicitent leur corps avec des charges et des mouvements répétitifs plusieurs fois par semaine. Les tensions effectuées au niveau articulaire par les muscles, peuvent créer des modifications et des adaptations sur le corps, qui peuvent perdurer à force de répétition. Un entretien mensuel est recommandé pour palier à la sur sollicitation du corps, et ainsi prévenir des blessures potentielles. Pour les travailleurs manuels ou physique, comme les pompiers, les gens de la construction par exemples, ils utilisent leurs corps autant que les sportifs, donc il faut qu’ils l’entretiennent pour éviter les blessures au travail, ce qui peut peut-être éviter l’arrêt de travail.
Pour les gens plus sédentaire, c’est d’autant plus important d’aller consulter, car le corps est fait pour bouger, et si
l’on néglige de bouger, c’est l’ankylose qui nous guette. Alors il est fortement conseillé de faire un entretient mensuel, comme les sportifs et les travailleurs physique, et au minimum un entretien saisonnier afin de garder le corps en santé et de maintenir son équilibre. Il est quand même très important d’en prendre soin malgré la sollicitation qui est moins grande. La position assise demeure la plus contraignante pour la colonne vertébrale, car la pression sur les disques est plus élevée et de façon continue.
Quels sont les bénéfices d’un traitement préventif en ostéopathie?
- Permettre à votre corps de passer sans encombre les changements de saison;
- Stimuler le système immunitaire avant et pendant l’hiver;
- Donner de l’énergie pour vos activités;
- Gérer les périodes de stress plus efficacement;
- Préparer votre corps au sport et surtout évitez les urgences!
Il sera plus facile pour votre ostéopathe de vous aidez si le corps n’est pas en alerte et la durée des symptômes seront diminués.
Nous pensons à faire un changement d’huile au garage et l’entretien de notre voiture pour prévenir un éventuel accident ou problème mécanique. On prend des produits homéopathiques pour prévenir la grippe saisonnière et ainsi éviter d’être malade durant l’hiver. Pourquoi vous prendriez pas le temps d’aller consulter votre ostéopathe pour un entretien, au moins saisonnier, et ainsi éviter les urgences? Le corps est une machine qui doit être entretenu. Donc que vous soyez sportif ou non, travailleurs de la construction, employé de bureau ou président de compagnie, votre corps à besoin de prévention! Mieux vaut prévenir que guérir !
Ariane Moreau Ostéopathe D.O
« La dyspareunie se définit comme une douleur éprouvée par la femme pendant le rapport sexuel. Elle peut être superficielle si elle apparaît au niveau de la vulve et du vagin au début de la pénétration du pénis ; ou profonde si elle est ressentie dans le bas-ventre et au fond du bassin lors d’une pénétration profonde.
Près d’une femme sur deux aurait eu au moins une expérience de pénétration vaginale douloureuse dans sa vie, mais celles qui éprouvent une douleur répétée et persistante sont beaucoup moins nombreuses. Les dyspareunies vraies concerneraient 4 à 28 % des femmes.
La dyspareunie est plus fréquente à certaines périodes de la vie, en particulier après un accouchement (post-partum), à la ménopause ou juste avant (en péri-ménopause). Mais elle peut concerner des femmes de tous âges. »
Source : http://www.santepratique.fr/dyspareunie.php
La dyspareunie est un phénomène de plus en plus répandue dans nos sociétés, et est tabou!!! Quelle honte de ne pas satisfaire son envie sexuelle et son conjoint. Les femmes sont capables de parler entre elles, de leurs douleurs lors des menstruations, mais dire qu’elles ont des douleurs à en pleurer lorsqu’elles font l’amour, c’est honteux!!!
Mesdames et mesdemoiselles, nous allons faire tomber ce tabou. Avoir des douleurs lors de la pénétration n’est pas une fatalité. Les gynécologues ont des traitements médicamenteux, qui marchent parfois, mais le plus souvent ça va jusqu’à l’hystérectomie, c’est à dire l’ablation de l’utérus, mais cette option n’est vraiment pas populaire auprès des gynécos, et on comprend pourquoi.
Il y a-t-il d’autre options qui se présente à vous? Je vous dirais, toutes les thérapies qui vont pourvoir intervenir directement sur la sphère gynécologique, peut vous aider. Que ce soit des massages, de l’acupuncture ou de l’ostéopathie, l’une de ces thérapies peut probablement vous aider.
Comme dit plus haut, les dyspareunies peuvent être superficielles, a l’entré du vagin, ou profonde lors de la pénétration complète du pénis. L’origine des douleurs sont de plusieurs origines possibles.
Les dyspareunies surviennent souvent en post-partum, alors qu’il y a eu une déchirure, une épisiotomie ou une césarienne. Ce sont les cicatrices qui se comportent comme des freins à l’extension des tissus concernés, qui se font étirer par la pénétration ou par le spams vaginal post coïtal et qui provoque de la douleur. La première des choses est de libérer toutes les tensions musculo-squelettique par des ajustements de la structure par manipulations externes.
La plus grande partie des douleurs et tensions disparaissent après 1- 2 séances. Certaines vont demander plus de travail et des manipulation endo-vaginales, pour libérer les brides cicatricielles, surtout dans les cas de césarienne, que les ostéopathes ne peuvent pas faire au Québec, et donc les patientes sont référées a un-e physiothérapeute ayant la formation de rééducation périnéale.
Pour les douleurs survenant en pré-ménopause ou ménopause, elles sont souvent due au changement hormonale que la femme connait et qui déclenche une sécheresse vaginale. Le traitement se fait principalement au niveau du système endocrinien, et ne nécessite pas de travail endo-vagninal.
En conclusion, la dyspareunie n’est pas une fatalité et se traite afin de retrouver un plaisir sexuel et non des douleurs lors des rapports ou même l’arrêt des rapports dû à la douleur.
Victor Babey
Ostéopathe D.O
The holidays are around the corner, and although it is a time of merriment, family gatherings, and traditions, it is also the most stressful time of year, full of tempting, delicious baked goods, and a higher incidence of injuries. Thankfully, there are a few things you can do to help make your holiday season healthier!
- Deep breathing – no matter how happy the holidays make us, they also stress us out. In between all the shopping, cooking, visiting family and friends, late nights, holiday parties and traffic, it’s no wonder we get run down. But some simple deep breathing can work wonders to calm us down mentally and physically. Contrary to popular belief, most of us actually do not breath properly. In order to breath properly your stomach should expand when you inhale (take in a breath) NOT your chest. When you exhale your stomach deflates. Try it! If it helps, place one hand on your stomach and one on your chest. Inhale through your nose to a slow count of 3 while pushing the hand on your stomach out. The hand on your chest shouldn’t move. Then exhale to a slow count of 3, deflating your stomach. Relax your shoulders. The best part about deep breathing, is that you can do it anywhere! When you start getting stressed or anxious waiting in line, or sitting in traffic or when your Ma Tante Linda knocks over her glass of red wine on your couch – Inhale 1-2-3, Exhale 1-2-3.
- Stretching – I can tell you to go to the gym, and give you some great exercises, but chances are, if you aren’t already exercising regularly, you won’t start during the most stressful time of the year. But I will definitely encourage you to at least stretch. Not only does it promote relaxation (another great time to practice the above deep breathing), but the more limber your muscles, the less likely you are to hurt yourself by throwing out your back while lifting the turkey or running to get the last gift on Christmas Eve before the stores close! Try these two great stretches
- Cat/Cow Stretch- On your hands and knees place your hands directly under your shoulders, you knees in line under your hips, curl your toes under. Inhale and arch your back and gently looking up. Keep your shoulders relaxed here. Then relax the tops of your feet to the floor, and exhale while rounding out your back as far as you can, pulling your belly button into you spine. This will feel absolutely wonderful for you and your back. Repeat this a minimum of 5 times.
Photo: Very Well
- Standing stretch – Standing upright, inhale and bring your arms over your head and reach up as far as you can, your back can arch a little. Then exhale while folding forward, slightly bending your knees and letting yourself hang there completely relaxed, swing your arms a little if you like! Then very slowly roll yourself back up one vertebrae at a time, when you get back to standing, roll your shoulders back several times. Repeat this 3-5 times.
Photo: Sha Wellness Clinic
- Smarter Eating – Ginger bread and short bread cookies, the ‘Buche de Noel’, the egg nog!. We only eat and drink these amazing things once a year, so eat it all, but eat smart! The holidays do not need to be the time of year when you gain 10 pounds, and it also doesn’t need to be the time of year when you get so scared about gaining weight that you forgo all your favourite once a year treats. It’s about balance! If you know that you have a big holiday party on Friday evening, plan to eat well the rest of the week. If Shirley from HR brings in a huge plate of delicious, home baked goodies, indulge in a few but don’t over do it. Stay out of the lunch room if you have to, or take the stairs to go get them. Drink lots of water, plan for healthy meals around holiday treats, and if you over do it because the snickerdoodle was stronger than you – do 3 rounds of 1 minute jumping jacks, 15 squats and as many pushups as you can do and leave the guilt behind!
No matter what we celebrate, the holidays are about spending time with the ones we love, sharing traditions and starting new ones. Wishing you a healthy, stress-free, limber and sweet holiday season.
Natalia Bessette
Kinésiologue M.H.K, B.Ed
Le 18 mai dernier, mon fils Hugolin est né à 7 mois de grossesse tout juste. Ça a dut être une césarienne d’urgence, ce qui fait que je n’ai pas pu y assister et encore moins soutenir mon épouse qui allait se faire couper dans sa chaire. Le pronostic n’est pas bon, Hugolin bradycarde (son petit cœur bat pas assez vite) et moi j’attends dans la salle de réveil à côté. Vous imaginez bien que je suis resté bien tranquille dans la salle à attendre, la dalle du couloir pour amener aux salles d’opérations est usé, tellement j’ai fait les 100 pas.
« Monsieur, il faudrait aller enregistrer votre épouse à l’administration. » Saleté d’administration!
Trois quart d’heure plus tard, mon fils sort des 2 grandes portes avec une kyrielle d’infirmières autour de lui et 2 médecins en arrière. Les visages sont moroses, ça ne présage rien de bon. Pas étonnant son petit cœur battait a 40-50 pulsations minute (la norme est entre 120-150, pour les nouveaux nés).
Et ma femme?
Les 2 pédiatres commencent à m’informer de la situation de mon fils Hugolin, je suis fatigué mais sur l’adrénaline, il est environ 12:45 am, mais j’essaie d’être le plus attentif possible, je ne veux rien manquer de leurs paroles, c’est mon premier enfant. On va dans le département de néonatalogie, il est dans un caisson en verre avec des tuyaux et des fils de partout. Il ne respire pas tout seul, une infirmière l’aide pour ça.
Et ma femme?
Les portes de néonatalogie s’ouvrent et on arrive dans la chambre 27. Marie, la pédiatre, continue à me donner des informations, j’en perds des bouts, j’ai les idées brouillées.
Mais dans tout ça, ou est ma femme?
Une infirmière vient me voir, se présente et me dit qu’elle va s’occuper de mon fils pour la nuit. Il est calme et tranquille, j’ai espoir, il est bien entouré et entre de très bonnes mains.
« Docteurs, est ce que je peux aller auprès de ma femme? »
Retour dans le département d’accouchement, Tala, ma femme, n’est toujours pas sortie, ça fait tout de même 1h30 qu’elle est la dedans. Les infirmières n’ont pas d’informations, je retourne vers la salle de réveil, je croise l’obstétricien je lui demande des nouvelles. La patience est une vertu pour les médecins, je lui ai posé 4 fois les mêmes questions, et il a pris le temps de me répondre. « Monsieur, j’ai sorti votre fils en 1 minutes 30, il y avait un décollement majeure (90%) du placenta. », coup de massue sur la tête, à 2h du matin c’est 2 fois plus assomment. « Elle ne devrait pas tarder à sortir, ils sont en train de la recoudre. » J’attends dans la salle de réveil, et je ressors user les dalles du couloir.
Les minutes sont longues et angoissantes, jusqu’à ce que Tala sorte par les mêmes portes par lesquelles Hugolin est sortie. Elle est vivante! Toute endolorie par l’anesthésie générale, son attention n’est pas totale. Les questions fusent : « Est-ce qu’il respire? Est-ce que son cœur bat bien? Est-ce qu’il a une tête d’Hugo? » Pas facile de donner le tableau général à la mère de son enfant. Par crainte de sa réaction, puis finalement, il va bien falloir lui dire, elle doit savoir.
« – Il respire avec une machine, mais son cœur bat seul.
– Ho, c’est pas bon ça! Mais est ce qu’il a une tête d’Hugo?
– Oui ma chérie, c’est un Hugolin! »
La fatigue est importante, les médicaments l’endorment, on la transfert dans sa chambre, j’ai mon canapé à côté de son lit.
« Tala, je retourne auprès d’Hugolin, puis je reviens »
Retour dans la chambre de mon fils, il est passé de la ventilation d’urgence à la ventilation conventionnelle, je savais bien qu’il était entre de bonnes mains!!!! Les 2 médecins pédiatres sont là, ils me redonnent des nouvelles, rien à vraiment changé, elles ont demandés un électro encéphalogramme pour le matin, mais les espoirs sont minces.
« Docteur, est ce qu’il souffre?
– Non, il est sous morphine, et si jamais on voit des signes de souffrances on augmente »
Il dort comme un bébé, le chanceux, la fatigue me gagne de plus en plus.
Je retourne à la chambre de Tala pour lui donner le tableau un peu plus précis, je suis accompagné des 2 pédiatres, heureusement je n’aurais pas pu. On arrive dans la chambre, je me place sur un bord les médecins en face de moi à côté de Tala.
« – Ho, c’est pas bon ça! »
Marie explique à Tala la condition de notre fils, c’est pas bon, Tala n’arrive pas à avoir d’expression de ses émotions, la morphine l’en empêche. C’est moi qui craque, et elle qui me soutient.
On est la tous les deux dans sa chambre, il est 3h30 du matin, la fatigue nous gagne de plus en plus. Les appels de ma famille en France commencent à arriver. Mes parents sont sous le choc, leur 7 ème petit enfant est en position critique et ils sont loin. Ma belle-famille et les amis proches suivent au petit matin.
Il est 9h, j’ai eu le temps de faire un aller-retour à la maison pour prendre une douche et ramener des affaires a Tala, la jaquette bleu, c’est pas super glamour. On la met sur une chaise roulante et on file dans le service de néonat! On se lave les mains jusqu’aux coudes, on met la blouse jaune en papier et on va dans la chambre 27 au bout du couloir. Jacynthe, l’infirmière est toujours là auprès de notre Hugo, les médecins sont allez se reposer de leur dure nuit, 2 hommes ont pris le relais, leur accessibilité est tout aussi grande que l’équipe de nuit, un bonheur dans les circonstances.
Tala voit Hugo pour la première fois, lui caresse la main, le moment est rempli d’émotions en tout genre, de notre part à tous les 2.
Le reste va s’enchainer tout au long de la journée. La déclaration de naissance à remplir, l’arrivée de ma belle-famille, les appels avec mes frères, nos amis, retour auprès d’Hugolin, la massue qui enfonce le clou jusqu’au bout : l’encéphalogramme est plat, Hugo est en mort cérébrale, il n’y a plus aucun espoir.
Quoi dire, quoi faire? Ma femme a été coupée dans sa chaire au petit matin, et maintenant dans son cœur! Et moi? Il faut rester fort pour elle, il faut la supporter et s’occuper d’Hugolin. Les médecins me prennent à part, Tala est avec son père et son fils.
« Monsieur, je pense que vous avez compris qu’il n’y avait plus d’espoir, donc nous allons déplacer Hugolin dans une plus grand chambre, dans la section palliatif (fin de vie), afin que toute votre famille puisse être là en même temps, autour de vous trois. On le déplacera quand vous serez prêt. »
La fatigue nous gagne tous les deux et a raison de nous, nous laissons notre place auprès de notre fils à ma belle-famille, on peut y être que 2 à la fois avant son déplacement, nous allons nous coucher. Trois quart d’heure de sommeil et autant d’émotion me font tomber comme une masse.
Tout le monde revient pour 18h, on a décidé de baptiser Hugolin. La famille et les amis proches qui ont pu se déplacer sont là. Hugo est dans les bras de sa mère, peau a peau. L’amour et l’incompréhension envahissent la chambre, mais le focus reste sur Hugolin. Le temps passe et chacun part, nous laissant tous les trois, avec nous même, dans un moment privilégié. Je change sa couche, je l’habille, je le prépare pour la nuit. L’infirmière d’Hugo (elle était dédiée à lui) nous a suivie et soutenue tout au long de la journée.
Il va falloir décider d’ex-tuber notre enfant premier né, le laisser partir et devenir un ange et une étoile dans le ciel. Il est 20h le soir, on décide de lui laisser 24h de vie sur Terre, donc pas avant 23h57 heure à laquelle il est né la veille. Mon frère m’appelle sur Skype (vive la technologie), on parle avec mon neuve et ma nièce, ils nous remontent le moral, ils sont là pour nous, mais qui est là pour eux, ils sont loin.
21h45 je cogne des clous, Tala est inconfortable sur sa chaise, mais il faut encore tenir avant de laisser partir Hugolin, le délivrer de son carcan et lui donner ses ailes. La fatigue est trop grand, je ne veux pas le laisser partir en étant à moitié endormie, je propose a Tala qu’on l’ex tube au matin et qu’on dorme entre temps. Tala accepte mais demande à ce que j’aille avec elle dans sa chambre. Jacynthe est de retour dans peu de temps (on l’a croisé dans le couloir quand on partait), on prévient sa consœur que l’on a pris la décision de le faire le lendemain matin et qu’on va se coucher.
« – Aucun problème, je vais prévenir le médecin, et Jacynthe va prendre le relais dans peu de temps. Si jamais il y a quelque chose qui se passe durant la nuit, on viendra vous chercher dans votre chambre. »
« Bonne nuit mon fils. »
22h30 on est pas encore au lit qu’on dort déjà. La nuit va faire du bien, on a mis le réveille pour 6h du matin. Il est 1h30 du matin, Hugolin est dans sa chambre, Jacynthe est dans la chambre de Tala, il est en train de s’effondrer, il faut y aller maintenant, il a décidé d’en faire qu’à sa tête et de prendre lui-même ses ailes. Tala part en quatrième vitesse sur sa chaise roulante avec l’infirmière, je suis quelques secondes derrière.
Tala le reprend sur elle, peau à peau, Jacynthe nous laisse un moment d’intimité avec lui. 2h15, je sors pour lui dire que nous sommes prêts pour l’ex tuber. L’inhalothérapeute vient pour lui enlever son tube qu’il a dans la bouche et nous laisse tous les trois. À 22h25 Hugolin prend 3 grandes respirations, pour finalement s’envoler dans le ciel étoilé. Il aura passé 26h de vie physique avec nous. Il nous aura fait passer par bon nombres d’émotions en si peu de temps. Du bonheur de faire de nous des parents, à l’énorme tristesse de le perdre aussi vite. Mais il l’a décidé ainsi, son arrivée et son départ précoce.
Mon fils, tu as changé ma vie a jamais, ma vision des choses et mes perspectives de l’avenir. Je n’aurais jamais pu avoir plus beau cadeau de ta part que de me faire réaliser que la vie est trop courte (c’est pas comme si je l’avais pas expérimenté moi-même avant) pour ne pas la partager avec des gens qui nous aiment et qu’on aime. Ta mère et moi sommes encore plus fort qu’avant (on se chicane toujours un peu, je te rappelle que je suis français), plus proches et plus complices. Merci à toi Hugolin de nous montrer que chaque moment doit être vécu pleinement et avec amour. Nous allons fêter tes un an pas comme la normale le voudrait, mais nous allons le faire en ton nom avec tous ceux qui veulent se joindre à nous.
Pour ses 1 an nous n’aurons pas de petite fête à la maison avec la famille et les amis. Pour ses 1 an, nous vous invitons à faire un geste qui peut faire la différence envers des enfants. Nous vous invitons à soutenir une ou plusieurs causes qui viennent en aide aux enfants, en leur faisant un don généreux, au nom d’Hugolin, mais aussi tous ces enfants qui partent trop vite. Et si vous ne savez pas à qui donnez, donner à Hugolin pour la Fondation Rêves d’Enfants
Avec Tala, nous vous remercions d’avance de votre générosité, et si vous avez des enfants, quel que soit leur âge, n’oubliez pas de les prendre régulièrement dans vos bras et de leur dire je t’aime, et s’ils sont loin, la technologie devrait pouvoir vous aider pour en faire une partie.
Victor, père orphelin et fier.
Depuis plusieurs années, des médecins et des dentistes ont remarqué une relation entre les malpositions des dents et les troubles de la posture.
Les mâchoires inférieures, ou mandibule, sont la troisième paire de membres du corps, au même titre que les bras et les jambes. Partant de cette observation par rapport au développement embryologique, on peut aisément comprendre que l’occlusion dentaire, c’est à dire le contact des dents l’une envers l’autre, peut interagir sur la structure même du crâne, du dos et du bassin, tout comme les membres inférieurs et supérieurs.
Dans le cas d’une dysharmonie dans l’occlusion dentaire, dû à une mauvaise implantation des dents, une poussée de travers des dents définitives, d’un traumatisme au niveau des dents… on va recommander au patient de faire des traitements d’orthodontie. Traitements qui sont assez lourds pour une structure comme les mâchoires supérieures et inférieures, mais très souvent nécessaires. Les traitements eux-mêmes sont des traumatismes pour la structure buccale dans son ensemble.
À ce niveau, l’orthodontiste et le dentiste agissent au niveau de ce qui est visible, tout comme le physiothérapeute travaille sur la récupération des grands mouvements. L’ostéopathe, lui, va travailler sur les petits mouvements qui permettent au grand mouvement de se faire dans sa globalité. Il va travailler après le dentiste pour faire le «fine tuning »de l’occlusion et enlever toutes les tensions qui ont pu être créées par les travaux effectués, mais nécessaires.
On retrouve ça surtout chez les adolescents, mais les adultes ne sont pas épargnés pour autant. Pivots, implants, traitements de canal, ponts et autres prothèses dentaires sont de très grandes raisons de dérèglement de l’occlusion dentaire. Chez l’adulte, les effets peuvent aller des douleurs aux dents à des tendinites à répétition au niveau des épaules, en passant par des douleurs cervicales et autre maux de tête et migraines. Depuis que la relation entre la posture et l’occlusion dentaire a été faite, tous les sportifs de haut niveau voient un dentiste et un ostéopathe pour éviter les irritations musculaires et tendineuses que peut engendrer une malocclusion dentaire.
Dans tout traitement dentaire, les Articulations Temporo-Mandibulaire (ATM) sont soumises à des forces pouvant aller de la simple tension musculaire à la subluxation, en passant par la luxation méniscale.
L’ostéopathe, par des manipulations légères et contrôlées, termine le travail des dentistes et des orthodontistes, en régulant la posture du patient, en rééquilibrant toute la sphère crânienne et en l’harmonisant avec le reste du corps (cervicale-dos-bassin-membres inférieurs). La globalité de l’ostéo-pathie permet une prise en charge complète.
Un traitement ostéopathique est à envisager en complément de l’orthodontie.
Victor Babey
Ostéopathe D.O (MOQ-MROF)
Pour la plupart des gens, la massothérapie sert uniquement à la relaxation du corps, mais cette thérapie est excellente pour diminuer certaines douleurs, relâcher les tensions musculaires, apaiser le stress quotidien, etc. Lorsque vous ressentez un point douloureux, par exemple dans le dos, on l’appelle le point gâchette.
Le point gâchette ou «trigger point» est un point de contraction musculaire causée par le stress physique et/ou émotionnel, par la fatigue, les mouvements répétitifs, les mauvaises postures et peuvent même être la conséquence d’un accident.
Les points rouges, sur l’image, représentent les zones où il peut y avoir des points gâchettes. Ces points vous donneront une sensation de douleur et peuvent également irradier dans une autre zone adjacente de votre corps. Voici un exemple : vous ressentez une douleur au niveau du cou suite à une mauvaise posture de travail. Vous allez consultez votre massothérapeute et durant votre séance, il ou elle trouve un point douloureux au niveau des omoplates. Après votre séance, la douleur est complètement résorbée. Le massage a été bénéfique, par contre, c’est la pression faite sur le point gâchette qui a réglé la douleur au niveau de votre cou.
Le traitement en massothérapie consiste à faire une pression constante sur le point douloureux jusqu’au relâchement du point et de la résorption de la douleur. La pression doit demeurer tolérable, il n’est pas question d’augmenter la douleur ressentie. Suite au massage, il est important de boire beaucoup d’eau afin d’éliminer les toxines libérées lors du relâchement musculaire.
Certains points gâchette peuvent imiter d’autre douleur. On les appelle des pseudo-douleurs. C’est la contraction du muscle qui peut nous faire croire que nous avons des symptômes par exemple d’appendicite, de crise cardiaque, mais en fait, ce ne sont que des points au niveau des abdominaux et du grand pectoral.
ATTENTION! Je ne dis pas que ces problèmes seront seulement traités avec les points gâchettes et que c’est la recette miracle à vos douleurs. Si vous avez ces symptômes, ne retardez pas pour aller à l’urgence! Si le médecin ne trouve rien, vous pourrez alors explorez la possibilité que votre mal provienne des Trigger Points.
Le massage thérapeutique est basé sur l’élimination des douleurs et de leurs causes. N’hésitez pas à consulter votre massothérapeute en cas de douleur. Il est là pour vous aider à relaxer et à enlever le stress quotidien, et ainsi, vous soulager.
Ariane Moreau
Massothérapeute à la Clinique Mille Mains
Nous vivons dans une ère où notre train quotidien roule à une vitesse incroyable. Nous travaillons 35-40 heures par semaine, nous allons chercher les enfants à la garderie, sans compter les activités sportives de tous et chacun de la famille. Toutes ces choses peuvent nous causer beaucoup de stress. Nous avons un horaire chargé où tout est planifié à la minute près. Nous ne prenons pas le temps de prendre soin de nous et de nous offrir un moment de répit pour évacuer tout le stress et la fatigue accumulée.
Le symptôme principal du stress est bien sûr la fatigue. Elle survient lorsque l’organisme est allé puiser toute l’énergie possible pour subvenir au besoin du corps. C’est alors que le corps essaie de combattre cette fatigue, mais la plupart du temps il n’y arrive pas. Lorsque le corps ne contient plus assez de nutriments, il est possible que l’apport restant dans le corps ne fournisse plus assez pour les muscles et cela peu créer des crampes musculaires. C’est à ce moment qu’il est important de ramener l’équilibre du corps pour retrouver l’énergie perdu.
La massothérapie va nous aider à avoir une meilleure circulation sanguine dans le corps. En augmentant la circulation sanguine, l’apport en oxygène sera plus grand et les cellules s’oxygèneront plus rapidement pour survivre et amener l’énergie au corps. Lorsque nous sommes stressé, nous avons également des troubles de sommeil qui nous empêche de récupérer. Certaines personnes vont prendre de la médication (somnifère) pour les aider à dormir. La massothérapie peut briser ce cycle. Lors du massage, le corps va créer des endorphines naturelles qui vont amener la personne dans un état de relaxation. La création d’endorphine peut alors nous éviter la prise de médication et nous aider à bien dormir.
En massothérapie, il y a plusieurs types de massage de détente: Le massage suédois, californien et le lomi lomi (massage hawaïen) sont des massages qui amènent la personne dans un état de relaxation générale. En voici une petite description :
Le massage suédois consiste en un massage de détente, basé sur les principes d’anatomie et de physiologie, et la manipulation des tissus mous. C’est un massage qui est commun et plusieurs massothérapeutes l’ utilisent.
Le massage lomi-lomi a pour principale vocation d’atteindre un état de bien-être au niveau physique, spirituel, et mental en reliant le cœur, l’âme et le corps. C’est un massage pratiqué avec les avant-bras tout en faisant des mouvements fluides qui peuvent partir des membres supérieurs jusqu’aux membres inférieurs dans la même séquence.
Le massage californien est une approche globale qui vise autant la détente que l’éveil d’une conscience psycho-corporelle. Ce massage utilise de longs mouvements lents et fluides qui permettent une profonde relaxation physique et psychique.
Maintenant que vous en connaissez un peu plus sur les effets de la massothérapie vis-à-vis le stress et la fatigue, au lieu de courir de tout bord tout côté, aller prendre un moment pour relaxer et donner l’énergie nécessaire à votre corps.
Ariane Moreau
Massothérapeute à la Clinique Mille Mains
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